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Phoenix Journals N° 14

CHAPITRE 5


Par Aton/HATONN


DANGERS DE LA SODOMIE ET FACTEURS BIOLOGIQUES

LES DANGERS POUR LE RECEVEUR PASSIF :

Chez les homosexuels masculins, la sodomie ou le coït anal est l'acte qui remplace le coït hétérosexuel pénien-vaginal. Cette pratique néfaste offre un accès facile à la transmission du SIDA et d'autres infections virulentes.

Physiologiquement, le rectum est conçu pour l'expulsion des matières fécales. Lorsque la sodomie est pratiquée, l'expansion forcée particulière du canal anal vers l'intérieur entraîne une déchirure de la muqueuse ainsi que des fissures anales qui saignent.

De violents spasmes de la paroi intestinale peuvent se produire en réaction à l'intrusion corporelle. La colite, une inflammation grave de la muqueuse du côlon, se développe souvent lorsque la sodomie est pratiquée de façon répétée. Cette affection provoque de la fièvre, des malaises, des crampes douloureuses et déchirantes dans le bas-ventre et une diarrhée éruptive et contient souvent du sang ou des leucocytes. Avec la fissure anale et le chancre syphilitique, l'ulcération muqueuse de la région rectale est fréquente chez les homosexuels masculins.

La prévalence des colites et des lésions rectales chez les homosexuels est telle qu'elles peuvent masquer les symptômes des lésions intestinales résultant du sarcome de Kaposi.

Le traumatisme de la sodomie produit également une forme unique de psoriasis inflammatoire dans des zones auparavant non touchées. Ce psoriasis s'étend du rectum à la zone pubienne, au pénis et au scrotum. C'est ce qu'on appelle le phénomène de Kobner. Pendant l'activité sexuelle, les fines écailles argentées qui se sont formées sur les zones enflammées sont frottées, laissant la peau à vif, saignante et exposée aux infections. Le frottement contre les hémorroïdes existantes rend également leur surface vulnérable.

Rédigée avant la découverte du HTLV-III/LAV comme agent du SIDA, une étude de cas nationale a révélé que: "Le sang provenant de lésions de la muqueuse rectale, dont on sait qu'elles sont fréquentes chez les homosexuels masculins qui ont des rapports sexuels rectaux, pourrait contenir l'agent infectieux responsable de cette épidémie".

Notez que cette importante étude détaillant la corrélation entre les comportements/maladies homosexuels et la prévalence du SIDA a été publiée par l'American College of Physicians en Août 1983 -- alors n'allez pas dire que Hatonn est un bigot. Il n'y a eu qu'une mention occasionnelle de la relation entre les actes/maladies homosexuels et la transmission du SIDA dans les médias ou la presse nationale. Généralement, c'est dans le contexte de la mise en évidence de la susceptibilité des hétérosexuels à l'abus de drogues par voie intraveineuse. Un article majeur rendant raisonnablement justice à cette corrélation a finalement été publié dans le numéro de Décembre 1985 de Discover. Cependant, il minimise imprudemment le potentiel de transmission hétérosexuelle du SIDA. Une fois présent, c'est de la dynamite ambulante.

Les lésions de la paroi rectale facilitent l'accès à la circulation sanguine du sperme infecté par le SIDA et d'autres organismes pathogènes. La sodomie anale réceptive a été définitivement liée à la transmission du SIDA. Voyez-vous que surtout au moment du cycle menstruel de la femme (lorsque les moyens de contrôle des naissances ne seraient pas utilisés), le sperme infecté pourrait causer une infection de l'intérieur de l'utérus déjà compromis, qui est en train de muer les matières grasses fixées et qui saigne déjà?

La sodomie anale réceptive a été définitivement liée à la transmission du SIDA. En étudiant le système immunitaire déprimé d'homosexuels masculins pratiquants de la ville de New York, on a découvert que les rapports sexuels anaux réceptifs étaient l'activité sexuelle spécifique qui présentait la corrélation la plus forte avec des niveaux réduits de cellules T auxiliaires, entraînant un dérèglement immunitaire. Voyez-vous aussi que les préservatifs seraient peu fiables, même s'ils étaient utilisés?

DANGERS DU PARTENAIRE ACTIF

L'ouverture de l'urètre, ainsi que les abrasions et les lésions du pénis résultant de l'activité et de la maladie sexuelles, permettent aux sécrétions sanguines infectées qui s'échappent des tissus rectaux endommagés de pénétrer dans la circulation sanguine du partenaire actif.

DANGER POUR LES AUTRES

L'affaiblissement du sphincter par la sodomie répétée entraîne une incontinence fécale et le dégouttement de selles contaminées tachées de sang. Le dépôt involontaire de sécrétions fécales infectées par le virus du SIDA sur les bancs des vestiaires, les sièges des toilettes et ailleurs crée également un potentiel de propagation par cette voie. Oh, on ne vous a jamais dit ces choses? Eh bien, trop tard c'est trop tard, n'est-ce pas? Ce sont des choses dont personne ne veut parler et encore moins décrire pour les masses modestes de personnes qui utilisent toutes les activités sexuelles comme des moyens de contrôle et de vengeance au lieu de l'amour et ensuite appellent cela de l'amour.

Ensuite, vous y faites référence en tant que "droits de l'homme" ! Ainsi soit-il.

LA SODOMIE SUPPRIME LE SYSTÈME IMMUNITAIRE
--MÊME SANS LE SIDA

La sodomie s'est avérée débilitante pour le système immunitaire des personnes passives, même en l'absence d'infection par le SIDA. Pendant la sodomie, les propriétés naturellement agressives du sperme, combinées aux dommages causés à la paroi rectale, permettent aux spermatozoïdes de pénétrer la muqueuse.

Un rapport publié dans le numéro 27 de la revue Science d'Avril 1984 par des chercheurs du Département d'Obstétrique et de Gynécologie du Cornell Medical Center, à New York, indique que l'apparition du SIDA chez les homosexuels pourrait être liée à la circulation d'anticorps provoquée par le dépôt de sperme dans le canal alimentaire. Le liquide séminal humain contient apparemment des composants qui peuvent potentiellement supprimer la réponse immunitaire".

Quelques semaines plus tard, d'autres chercheurs ont rapporté dans le Lancet, une revue médicale très respectée, "Un individu homosexuel est exposé de manière répétée à des antigènes viraux tels que les antigènes de l'herpès et du sperme qui peuvent être absorbés par l'intestin entier ou par des lésions muqueuses. Les lésions hémorragiques ne sont pas nécessaires à l'absorption des spermatozoïdes et des agents infectieux nocifs pendant la sodomie, mais elles la facilitent.

"Les réponses immunitaires de l'hôte peuvent être modifiées par l'exposition aux spermatozoïdes, avec la formation ultérieure d'anticorps anti-spermatozoïdes".

Lors d'un rapport hétérosexuel normal, les qualités dynamiques des spermatozoïdes permettent la pénétration et la fertilisation de l'ovule féminin, entraînant la fécondation. Les parois du vagin sont élastiques et épaisses de plusieurs couches, et elles possèdent des glandes qui assurent une lubrification naturelle pendant les rapports sexuels. Cela empêche de grandes quantités de spermatozoïdes de pénétrer dans la circulation sanguine.

En 1984, une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association notait que l'association de la dérégulation immunitaire induite par les spermatozoïdes avec la pratique des rapports anaux "souligne les différences structurelles critiques entre le rectum et le vagin. Alors que la muqueuse vaginale est constituée d'un épithélium pavimenteux multicouche capable de protéger contre tout effet abrasif lors des rapports sexuels, la muqueuse du rectum est constituée d'une seule couche d'épithélium cylindrique. Ce dernier, contrairement à l'épithélium vaginal, est non seulement incapable de protéger contre tout effet abrasif, mais favorise également l'absorption d'un ensemble d'antigènes de spermatozoïdes, augmentant ainsi leur exposition à l'appareil immunitaire dans la circulation lymphatique et sanguine. La forte immunogénicité des spermatozoïdes, associée à la flore microbiologique du rectum, peut agir en synergie pour générer un état de stimulation antigénique chronique.

"À cet égard, quatre des sept partenaires sexuelles féminines immunodéficientes de patients masculins atteints du syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA) ont également eu des rapports sexuels anaux. Un phénomène analogue peut être dégagé de la forte association entre la fréquence élevée de la séroconversion pour le virus de l'Hépatite B et la pratique routinière des 'rapports sexuels anaux-génitaux passifs'."

Commencez-vous à comprendre les dommages horribles que les sexothérapeutes comme le Dr Ruth et d'autres, causent à un public non averti? Au nom de la "liberté sexuelle", on leur apprend que tout va bien et que plus il y a de bizarreries entre adultes consentants, plus le mariage et/ou la relation seront merveilleux? Ils deviennent les outils des "diffuseurs" du poison et sont utilisés à leur insu.

Cependant, les partenaires sans méfiance recherchant l'accomplissement illusoire de la relation présentée comme le "tout en un" et qui ne peuvent trouver l'expérience incroyable décrite dans tous vos médias, essaieront n'importe quoi pour "sauver leur mariage" ou "garder la flamme vivante" et toutes ces bêtises mensongères. L'homme a été créé pour trouver l'accomplissement ultime de son âme -- pas dans un lit à eau avec intrusion de protubérances -- ces choses ont été conçues pour la procréation d'une espèce.

Pendant la sodomie, la conception biologique du rectum combinée aux propriétés agressives du sperme accélère leur entrée substantielle dans la circulation sanguine. Lorsque cela se produit de manière répétée, des anticorps dirigés contre les spermatozoïdes se développent, circulent et affaiblissent le système immunitaire. Cela se produit à la fois en dehors et en même temps que l'infection par le virus du SIDA. Il s'agit probablement d'un cofacteur de l'infection par le HTLV-III.

Outre la suppression du système immunitaire en soi, l'introduction de sperme contenant l'agent du SIDA a été citée comme fournissant un mécanisme de "cheval de Troie" (sans jeu de mots) pour la transmission du lentivirus [1] HTLV-III/LAV.

Les leucocytes du liquide séminal, également présents dans la diarrhée induite par la colite, transportent le virus du SIDA directement vers les organes lymphoïdes des partenaires homosexuels, réalisant ainsi un transfert très efficace de l'infection vers la plupart des cellules lymphoïdes.



[1] Les lentivirus correspondent à un genre de virus à ARN particulier des rétroviridés. Leur nom s'explique par la longue période d'incubation qui est nécessaire avant la manifestation de leur pouvoir pathogène sur les cellules.

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